Novembre

Prochain apéro-pédago | Simulation in situ | Portrait chinois | Formation en nutrition | Bon usage du diaporama | Babillard
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  APERO-PÉDAGO  
L'IA en formation

  PUBLICATION  
Le ressenti des professionnels concernant la simulation in situ interprofessionnelle en gestes et soins d'urgence

 PORTRAIT CHINOIS 
Stéphanie Andrey Prost, doctorante et cadre formatrice à l'IFPS de Besançon

  LU POUR VOUS  
La nutrition dans la formation médicale

  PAUSE PÉDAGOGIQUE  
Les toiles de la mort

  BABILLARD  

 

 

 

 

>       APERO-PEDAGO



Une pluralité de contributions des intelligences artificielles génératives pour les étudiantes et les étudiants
 
 
Le prochain apéro-pédago aura lieu le 10 décembre 2024, de 18 h 30 à 20 h 30, sur le thème de l’intelligence artificielle. Il sera coanimé par Jacques TARDIF (professeur émérite de l’Université de Sherbrooke) et par Laurent LIMIER (responsable pédagogique à école d’ergothérapie de Mulhouse).


L’évolution de l’IA est fulgurante et, régulièrement, de nouveaux produits de toute nature sont mis à la disposition des citoyennes et des citoyens. Dans le vaste domaine des IAG (Intelligences Artificielles Génératives), les développements sont exponentiels et les personnes en charge des formations, de l’école primaire à l’université, sont confrontées à des décisions lourdes de conséquences, tant pour les formatrices et les formateurs que pour les étudiantes et les étudiants. L’article Quelles sont les I.A. les plus utilisées?? 500 services d’intelligence artificielle qui reçoivent des millions de visites par mois… donne un aperçu des choix possibles et de l’étendue de ces usages. Le 24 septembre dernier, Gianluca Riccio publiait un texte intéressant intitulé «?10 tendances qui vont bouleverser l’apprentissage et l’enseignement supérieur?». Dans ce texte, il écrivait : «?L’IA ne remplacera pas les humains, mais les humains améliorés par l’IA remplaceront les humains sans IA.?»

L’apéro pédagogique s’inscrit dans cette logique, et la priorité sera donnée aux IAG (Intelligences Artificielles Génératives) dans le parcours de professionnalisation d’étudiantes et d’étudiants en santé. Après une introduction critique quant aux usages des IAG jusqu’à maintenant dans le monde de la formation, une catégorisation de ces usages sera définie et servira de structure pour la suite de la présentation. Dans le déroulement de l’apéro, un accent particulier est mis sur le soutien à l’apprentissage, l’évaluation des apprentissages et les rétroactions quant à l’évolution de la professionnalisation. Des IAG seront utilisées séance tenante pour illustrer leurs contributions et leur efficacité. Tout au long de la présentation seront soulevées des questions que posent les IAG sur le plan déontologique ainsi que sur celui de la qualité de la professionnalisation. La conclusion interrogera l’évolution des formations au fur et à mesure d’une intégration de plus en plus influente des IAG.

 
30 places seront offertes en présentiel (lieu de déroulement : Faculté de médecine de Strasbourg) et 30 places à distance. Un apéritif sera offert aux personnes présentes entre 20 h 30 et 21 h.

> Pour vous inscrire, c’est par ici?!
 

 

 

 

>       PUBLICATION

Une ancienne étudiante du master PSS publie son travail de recherche sur la simulation dans une revue de sciences infirmières



 
Toutes nos félicitations à Isabelle BORRACCIA, étudiante de la promotion 2018/2019 du master de pédagogie en sciences de la santé, et à ses superviseures, Anne WEISS et Véronique BRUNSTEIN, pour la publication de leur travail de recherche sur la simulation in situ dans la Revue francophone internationale de recherche infirmière.


Résumé
 

Introduction

La formation aux gestes et soins d’urgence par des séances de simulation in situ interprofessionnelle (Sisip) est en augmentation. Les intérêts sont multiples : organisation peu coûteuse, qualité d’authenticité élevée du fait de l’environnement, du matériel in situ et des équipes interprofessionnelles constituées.
 

Objectifs de l’étude

Explorer le ressenti des professionnels médicaux et non médicaux concernant les séances de Sisip dans le cadre d’une formation aux gestes et soins d’urgence en service de soins conventionnels et en structure médico-sociale pour déterminer les axes d’amélioration et optimiser l’offre de formation.
 

Méthode

Étude qualitative basée sur un processus itératif de recueil et d’analyse des données dont la saturation est apparue après sept entretiens sur huit, auprès de professionnels médicaux et non médicaux, selon un échantillonnage de convenance et une triangulation des données.
 

Résultats

Les professionnels montrent de l’intérêt pour la Sisip dans le but de développer des compétences collaboratives et la cohésion d’équipe. Néanmoins, des axes d’amélioration se dégagent en lien avec des contraintes organisationnelles et à une faible valeur de la tâche pour les gestes et soins d’urgence pour certains professionnels.


 > L’article est en accès libre sur le site de l’éditeur 

 

 

 

>       PORTRAIT CHINOIS

Stéphanie ANDREY PROST, doctorante et cadre formatrice à l’IFPS de Besançon



 
Isabelle SEBRI s’est penchée sur le parcours atypique de Stéphanie ANDREY PROST. Titulaire d’un master de pédagogie en sciences de la santé obtenu au CFRPS et doctorante au Laboratoire de recherches intégratives en neurosciences et psychologie cognitive (LINC UMR 1322) de Besançon, ses recherches et ses communications portent sur l’importance du plaisir en formation. Cadre de santé chargée de formation à l’Institut de formation de professions de santé (IFPS) de Besançon de 2008 à 2024, elle assure aujourd’hui les fonctions de coordinatrice pédagogique et de projets au sein de l’Association CoMET-BFC, plateforme régionale pour l’éducation thérapeutique du patient.


Si Stéphanie était un concept en pédagogie?? 
Je serais l’évaluation formative entre pairs. En formation M2 PSS au CFRPS, Isabelle SEBRI, via l’expofolio, nous a fait expérimenter cette pratique pédagogique basée sur le socioconstructivisme. Une révélation pour moi?! Suite à cela, avec mes collègues de l’IFSI, nous avons complètement réinventé notre approche des enseignements du poster scientifique. Et désormais, les étudiants en sciences infirmières coconstruisent les critères d’évaluation du poster support de leur soutenance orale de mémoire, exposent une première ébauche de ce poster, évaluent qualitativement les travaux de leurs collègues, et recueillent les évaluations formatives écrites de leurs pairs afin de réajuster leur production pour le rendu final certifiant.
 
Si Stéphanie était une posture d’accompagnement?? 
Je dirais «?facilitatrice?». Suite au travail de recherche mené en M2, idéalement accompagné par la Professeure Nicole POTEAUX, j’ai découvert les théories de Bourrassa, de Knowles et de Guéguen, sur l’importance du plaisir et de la sécurité affective pour apprendre. J’ai pris conscience qu’un environnement peut être plus ou moins capabilisant, et mettre — ou non — l’étudiant «?en capacité de?». Comme l’explique Many (2023) «?L’organisation de l’apprentissage joue un rôle déterminant dans la qualité de l’expérience d’apprentissage et dans la facilitation de l’expression des capacités des apprenants (Yatchninosvski, 2018?; Troadec, 1998). […] l’environnement dans lequel les apprenants évoluent peut avoir un impact considérable sur leurs performances et leur bien-être. Un environnement stimulant, favorable et adapté peut favoriser l’engagement et la motivation des apprenants (Fernagu, 2012)?». J’ai donc lâché sans regret la posture de formatrice pour celle de facilitatrice des apprentissages. Car c’est bien comme cela que je perçois mon rôle : concevoir et organiser un contexte facilitant les apprentissages, que seul l’étudiant est à même de réaliser pour son propre compte. 
 
Si Stéphanie était un leader inspiré et inspirant, elle serait?? 
Je crois que je choisirais Nicole GUEDENAY, qui a été le leader féminin, contemporain et français de la théorie de l’attachement, développée par John BOLWBY et Mary AINSWORTH dans les années cinquante, et confirmée récemment par les neurosciences. Nicole GUEDENAY n’a de cesse d’expliquer et d’argumenter combien les interactions précoces de chaque individu influencent sa confiance en lui, sa confiance en l’autre et, par la même, impacte sa disposition affective aux explorations et aux relations sociales… et donc, aux apprentissages.
 
Si Stéphanie était un projet?? 
Là, c’est facile?! Je serais un projet de formation et de développement professionnel continu, un projet d’amélioration des conditions d’apprentissage ou de travail… Un projet où il serait question du plaisir d’apprendre, d’empowerment, d’accompagnement humaniste et d’innovation pédagogique. En y réfléchissant, le projet de formation doctorale que j’investis actuellement répond à tous ces critères.
 
Stéphanie, en une citation?? 
«?Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l’être, mais aussi la sagesse de distinguer l’un de l’autre.?» (Marc Aurèle)
 
Many, H. (2023). Construire un environnement capacitant dans l’enseignement supérieur pour un apprentissage épanouissant et réussi. Études & Pédagogies. En ligne : https://doi.org/10.20870/eep.2023.7641

 

 

 

>       LU POUR VOUS

Tous les mois, les enseignants du CFRPS sélectionnent un article ou un ouvrage récemment publié dans le domaine de l'éducation des sciences de la santé, et vous en offrent une analyse

La nutrition dans la formation médicale : une revue systématique

Nutrition in medical education: a systematic review

Crowley et al. (2019), The Lancet Planetary Health

 
 
 par Elodie HERNANDEZ


En cette période automnale, mouvementée au niveau mondial, entre guerres et élections américaines, la tendance hygge, du bien-être danois, résonne particulièrement. Et quoi de mieux, quand on est chez soi, que d’apprécier un bon petit plat. En France, la nourriture est un art à part entière. Elle fait partie de notre culture.

Mais qu’en apprend-on pendant les études de santé??

La nutrition a un impact sur plusieurs maladies chroniques. Une alimentation saine est donc cruciale. Cependant, il y a souvent un écart entre les connaissances en nutrition des professionnels de santé et leurs capacités à fournir des soins appropriés aux patients.

Récemment, aux États-Unis, un événement passé sous silence s’est déroulé au Sénat : le mouvement MAHA («?Make America Healthy Again?») a organisé une réunion non partisane visant à informer les sénateurs et congressistes américains des dangers de l’alimentation ultra-transformée. Des médecins sont intervenus, et certains extraits ont été diffusés sur les réseaux sociaux, montrant l’absence de formation à la nutrition dans leurs prestigieuses universités.

L’article que j’ai choisi ce mois-ci a été publié en 2019 dans The Lancet Planetary Health. Il offre une synthèse de la littérature scientifique quant à la formation médicale des étudiants en santé sur la nutrition.

Vingt-quatre articles ont été inclus. Les résultats montrent que l’éducation à la nutrition a un «?goût amer?» et peut même être qualifiée de «?déplorable?». Les étudiants perçoivent une inadéquation entre les apprentissages qu’ils réalisent sur ce thème et les compétences qu’ils doivent mettre en œuvre pour donner des conseils efficients aux patients. Ils déplorent l’absence de rigueur scientifique dans les cours portant sur le sujet et le manque d’«?evidence-based nutrition?». Les enseignants se plaignent quant à eux du manque de temps dédié à ce thème. Les facultés reconnaissent que celui-ci devrait être traité dans le cadre de la prévention et du traitement de l’obésité, et qu’il existe un lien entre bien-être et nutrition.

Si la formation est reconnue comme insuffisante, la «?cerise sur le gâteau?» est l’évaluation décrite dans la littérature… qui est bien pire. Les outils d’évaluation manquent et quelques papiers se contentent de décrire des tests de connaissances avant ou après une intervention. Aucune étude n’a cherché à documenter les compétences développées par les étudiants en soins nutritionnels, et quatre études seulement ont évalué la confiance des étudiants à délivrer de tels soins. Dans ces recherches, des étudiants rapportent ne pas percevoir leur rôle dans la prévention et le traitement de l’obésité. D’autres estiment qu’ils se sentent capables de donner des conseils nutritionnels uniquement dans quelques pathologies, ou de donner seulement des conseils de base. Peu de curriculums ont en outre été évalués, et leurs effets positifs demeurent modestes.

Ces résultats, qui témoignent des «?carences?» des formations en nutrition, montrent que les futurs professionnels de santé ne bénéficient pas d’une formation efficiente, quels que soient leur pays, le contexte et leur année de formation, malgré l’importance reconnue de ce sujet pour la santé des patients.

Quelles «?recettes?» pouvons-nous en tirer??

L’évaluation guide les apprentissages : le manque d’évaluation des connaissances sur ce sujet entretiendrait-il le manque de connaissances?? Les auteurs notent la nécessité d’un niveau minimal requis en connaissances nutritionnelles, qui pourrait être établi comme une référence par les facultés de médecine. Ils soulignent que le manque de connaissances des étudiants sur la nutrition entraîne une carence en soins des professionnels diplômés envers leurs patients. Ils établissent un lien avec un cadre conceptuel global d’accès aux soins de santé et aux mesures de santé préventives, mais aussi de réponse aux préoccupations de justice sociale, d’insécurité alimentaire, de pénurie d’eau et de changement climatique. Ils préconisent que des travaux supplémentaires soient réalisés pour s’assurer que l’éducation nutritionnelle soit en accord avec une vision globale de la nutrition.

Gandhi disait «?L’exemple n’est pas le meilleur moyen de convaincre, c’est le seul?!?». En parentalité, on dit souvent que «?les enfants font ce qu’on fait, pas ce qu’on dit?». Ainsi, des initiatives de curriculums qui invitent les étudiants à avoir des habitudes de vie saines semblent cruciales. Il paraît primordial qu’ils puissent soutenir le changement de comportements en matière de régime alimentaire et de mode de vie des patients, en ayant expérimenté eux-mêmes l’apprentissage de leur propre santé. 

Des initiatives curriculaires, peu nombreuses, ont vu le jour. Elles sont adaptées à un apprentissage basé sur le développement des compétences et la promotion de l’interprofessionnalité. En janvier 2024, l’Université de Harvard a ainsi conçu un programme incluant… deux douzaines d’apprenants. Les choses avancent… doucement…

Peut-être pourrions-nous tous, à notre échelle, «?cuisiner?» un programme pédagogique, en incluant les connaissances nutritionnelles nécessaires aux soignants et en impliquant l’étudiant dans sa santé, de façon à ce qu’il puisse, plus tard, prôner un mode de vie sain auprès de ses patients ? Peut-être pouvons-nous déjà agir comme modèles de rôle en tant que tuteurs et maîtres de stage?? Et surtout, peut-être pourrions-nous nous interroger sur l’indépendance que nous avons en matière de curriculum quand nous sommes parfaitement informés des derniers médicaments qui diminuent le taux de cholestérol, alors que nous ignorons largement comment implémenter un mode de vie sain par la nourriture chez nos patients.

Je soulève un dernier point, à l’heure où le football professionnel est, cette année, sponsorisé par une grande chaîne de fast-food, et où la fédération française de basket est partenaire d’une grande marque de chocolats pour promouvoir l’accès au sport : voulons-nous que les industriels de l’alimentation sponsorisent nos connaissances sur l’alimentation, tel que je l’ai déjà vu en congrès médical??

Je vous souhaite à tous un bel automne : mangez, bougez ;)


 

 

 

>       PAUSE PÉDAGOGIQUE

Les articles  < 

 

The cognitive science of PowerPoint

Publié en 2021 par Paul et Cicek
dans Proceedings 2021 of the Canadian Engineering Education Association Conference

The cognitive science of PowerPoint part II: The power of attention

Publié en 2021 par Paul et Cicek
dans Proceedings 2021 of the Canadian Engineering Education Association Conference
 >   Rendez-vous 


19 novembre 2024
de
13 h à 14 h

en salle 212 du forum de la faculté de médecine de Strasbourg
 
 
 >   Les animateurs




Benoit BILLEBAUT (formateur MERM - Münster, Allemagne), Alexis MOUTHON (CCU médecine générale - Grenoble), Anne-Laure MUTIN (interne en médecine d'urgence - Lille) et Chloé WILLAIME (infirmière - Villeneuve-le-Roi)

Les toiles de la mort

 

C’est une époque de guerre pédagogique. Dans les salles de classe luxueuses de la faculté de médecine, des rebelles résistent au côté obscur des présentations PowerPoint, luttant contre les forces obscures du Slide Impérial.

Armés des dernières avancées en sciences cognitives, ces étudiants de la Pédagogie Active mènent une révolte audacieuse contre les Toiles de la Mort : ces diapos si mal conçues qu’elles détruisent toute motivation d’apprendre en un clin d’œil. Pourtant, l’espoir et la rigueur scientifique ne sont pas en reste.

Guidés par les principes éprouvés des sciences cognitives, nous vous invitons à nous réunir pour une session de formation de 60 minutes. Nous y apprendrons à construire des diaporamas efficaces, avec des principes applicables à tous les programmes de présentation. Basée sur des recherches cognitives actuelles, cette formation vous aidera à concevoir des présentations claires, visuellement engageantes et optimisées pour favoriser la rétention d’informations et l’engagement des étudiants.

 >   Archives et prochaines dates

Retrouvez ici les thèmes des précédentes pauses pédagogiques ainsi que les publications associées (vidéo, copie du diaporama, synthèse des points clés et articles).

Voici les dates des prochaines pauses :
  • 10 décembre
  • 7 janvier 2025
  • 4 février
  • 11 mars
  • 4 avril
  • 17 avril
  • 19 juin

 

 

 

>       BABILLARD

Formation

 
Un webinaire sera organisé par Elsevier le 28 novembre, à 11 heures, afin d’accompagner les étudiants et les chercheurs dans le processus de soumission et de publication d’articles scientifiques. Plus d’informations ici

 

 


Congrès

 
Le prochain congrès de la Société internationale francophone d’éducation médicale (SIFEM) aura lieu à Orléans, du 26 au 28 mai 2025. Plus d’informations à venir ici 


On en parle dans les médias
 
  • IFSI : faut-il passer de 3 à 4 ans de formation ? L’article, publié sur le site Infirmiers.com, est accessible ici
  • Bizutage : «?Il est urgent que les étudiants en médecine prennent conscience que les réalités sociétales ont changé?». L’article, publié dans Le Monde, est accessible ici
  • «?Ça a été le meilleur choix de ma vie?» : quand la réorientation permet de trouver sa voie. L’article, publié dans Le Parisien, est accessible ici
  • En Algérie, le ras-le-bol des étudiants en médecine. L’article, publié dans Le Monde, est accessible ici
  • «?Je sors toujours accompagnée, ça devient très grave?» : les étudiants en médecine se sentent en danger autour de leur fac à Marseille. L’article, publié sur le site de Franceinfo, est accessible ici
  • Violences sexistes et sexuelles : l’Ordre des médecins veut interdire l’exercice de la médecine aux étudiants condamnés. L’article, publié sur le site L’étudiant, est accessible ici






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